Dans de nombreuses situations sportives, l’athlète se doit de réagir de manière instantanée et développer très rapidement une force pour en contrer une autre. On peut le retrouver par exemple lors de déclenchement de sprint, de contact joueur-joueur ou alors pour un haltérophile au moment de soulever sa charge. Ces athlètes doivent donc développer une force explosive importante. L’amélioration de force maximale est une chose, cependant savoir comment développer cette force de manière plus rapide nécessite la connaissance de certains paramètres.
Article rédigé par Clément Boudot et Thibaut Garçon
Depuis les années 50, nous constatons une diminution du nombre de personnes âgées de moins de 20 ans dans les pays occidentaux. En addition à ce changement démographique, il est également constaté une baisse générale des performances sportives chez cette même tranche d’âge. Les changements ont montré également une diminutiondu concept de « forme musculaire » comprenant l’endurance musculaire,la puissance musculaire et la force musculaire chez les moins de 20 ans. Il a également été mis en évidence une baisse de leur capacité d’aérobie.
La représentation, l’analyse et l’exécution précises d’un mouvement sportif sont des composantes primordiales chez les sportifs de haut niveau. S’entrainer à la représentation mentale d’un mouvement est devenu devenu de plus en plus commun dans le quotidien d’athlètes toujours à la recherche d’optimisation des performancesnotamment dans les sports demandant une gestuelle millimétrée avec un temps de réaction rapide et une répétition rigoureuse des mouvements. Le sport de haut niveau demande toutes ces qualités c’est pourquoi on retrouve ce type d’entrainement régulièrement, mais d’autant plus dans les sports automobiles, le golf, la danse, etc. C’est dans ces domaines que les neurosciences sont d’une aide précieuse pour améliorer les performances motrices des sportifs, mais également une aide pour les coachs ou les préparateurs physiques permettant une nouvelle approche qu’elle soit en matière de rééducation ou d’amélioration de performance.
Artcile rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
Entre stress, fatigue physique et mentale, il est parfois difficile pour l’athlète de trouver le sommeil. Pourtant, le sommeil est le facteur le plus important de la récupération et nous savons à quel point la récupération est essentielle à la performance. Cet article pourrait aussi bien figurer en modalité de récupération que d’optimisation de la performance. Entre compétition, déplacements et entrainements, il est très difficile pour l’athlète d’acquérir la qualité et la quantité de sommeil recommandées pour prétendre aux meilleures performances. Nous allons voir les manières de mesurer le sommeil (qualité et quantité), les effets du sommeil sur la performance, les stratégies à utiliser pour améliorer la qualité du sommeil et pour terminer nous aborderons les nouvelles technologies en relation avec le sommeil.
Au fils des années, les performances ne cessent d’augmenter, chez les hommes comme chez les femmes. Cependant, les fonctionnements physiologiques différents en fonction du sexe entraînent des limitations dans la réalisation de records. Les femmes possèdent beaucoup plus de contraintes physiologiques que les hommes, entre les hormones, les menstruations, la grossesse, etc. Nous allons donc étudier les caractéristiques de l’athlète féminine entre performance et comportement physiologique puis nous aborderons la grossesse ainsi que la période post-partum chez une athlète de haut niveau.
Dans un sport comme le football, il est très important d’avoir une architecture musculaire dynamique, c’est-à-dire alliant force et vitesse. Les joueurs doivent garder une agilité conséquente afin de mettre du rythme et de l’intensité dans chacun de leur mouvement. Le joueur doit être à la fois capable de produire une certaine force nécessaire à la solidité du joueur, mais cette dernière doit être comblée à la vitesse afin de faire la différence. L’un ne va pas sans l’autre dans le football. Le sport en lui-même façonne le physique des joueurs, et c’est sur cet aspect qu’il faut continuer à travailler, dans la nature du sport afin d’être en symbiose avec les demandes physiques et techniques.
Aujourd’hui, nous allons étudier le psoas qui est un muscle extrêmement important dans la plupart des sports, impliquant les membres inférieurs. Par son insertion et son origine, le psoas relie les membres inférieurs au tronc. La particularité du psoas est qu’il apparait plutôt comme un muscle superficiel au niveau de la hanche et devient rapidement plus profond en rejoignant la colonne vertébrale. Il pourra donc être source de diverses douleurs et même entrainer de nombreuses compensations résultant en un risque de blessure. Nous allons d’abord procéder à un rappel sur l’activité musculaire du psoas puis étudier son activité lors du sprint.
Articlé rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
L’entraînement musculaire peut être considéré comme la base de toute performance sportive. L’enjeu consiste donc à entraîner l’athlète de la manière la plus précise et la plus efficace afin de cibler les potentiels déficits dans le but d’améliorer ses performances. Pour cela, plusieurs questions subsistent : quelles charges utiliser ? Comment doit-on exécuter le mouvement pour travailler la vitesse ? Comment travailler la puissance ? Voici ce que nous allons étudier dans cet article.
Articlé rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
Il y aurait-il une technique afin d’économiser son énergie durant la course dans le but de maximiser sa performance et sa récupération ? Prenons l’exemple du kangourou : ce dernier dépense moins d’énergie quand il court/bondit à 30 km/h qu’à 20 km/h. Comment est-ce possible ? Grâce à son tendon d’Achille démesuré, il utilise le principe de l’élastique à merveille. À chaque bond il utilise l’énergie dite « gratuite » pour son prochain saut. L’énergie dite « payante » quant à elle, est l’énergie nécessitant un effort de la part du coureur qui amène donc à la dépense d’énergie et de la fatigue.
Article rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
Dans cet article, nous allons tenter de voir comment améliorer l’accélération de l’athlète via différents types d’entrainements. Suivant le type de sport, nous allons rechercher différentes améliorations de la vitesse. Nous pouvons soit améliorer la vitesse maximale soit améliorer l’accélération. Pour des sports tels que le sprint (100m) c’est la vitesse maximale qui sera prioritaire alors que pour des sports comme le football, les joueurs ont rarement le temps d’atteindre leur vitesse maximale. Nous allons dans cet article nous focaliser sur l’accélération.
Article rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
Dans le sport, les athlètes apprennent des stratégies psychologiques pour faire face à un certain nombre de défis exigeants liés à la santé mentale. Même si la majorité des athlètes qui réussissent sont généralement considérés comme psychologiquement sains, ils peuvent encore éprouver un large éventail de processus internes tels que l'anxiété les jours de compétition, les émotions négatives, la peur de l'échec et les pensées dysfonctionnelles qui peuvent avoir une influence négative sur les performances. En outre, des facteurs liés à la personnalité ainsi que des problèmes personnels peuvent également nuire à la performance.
Article rédigé par Nathan Touati et Antoine Frechaud
Dans une recherche d'optimisation constante de la performance, la prévention des blessures et la connaissance des facteurs de risques jouent un rôle plus qu'important. Les blessures peuvent entrainer des diminutions des performances voire pire, un temps hors compétition très long demandant une réhabilitation complexe et longue. C'est durant ce temps sans activité que le niveau et les capacités physiques s'altèrent. Nous évoquons régulièrement, si ce n’est à chaque fois la prévention d’après les recherches scientifiques. Cependant, il est intéressant de se renseigner au plus proche des athlètes : quels sont leurs regards par rapport à leur blessure ? Quels facteurs considèrent-ils comme facteurs de risques ?
Puis dans un second temps, nous verrons quelles nouvelles technologies sont aujourd'hui présentes pour prévenir ces dernières.